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Notice d'autorité

La Société d'histoire et de généalogie de Saint-Casimir (SHGSC) http://shgsc.ca/ est un organisme à but non lucratif dont le but est la recherche et le partage de l’histoire de Saint-Casimir. La société d’histoire est fondée officiellement le 8 février 1996.

La mission de la Société d’histoire et de généalogie de Saint-Casimir est de :

  • grouper toutes les personnes intéressées à l'histoire et à la généalogie et désireuses de participer à des rencontres, des études, des recherches, ou autres activités, en vue de mieux connaître et faire connaître l'histoire et la généalogie.

  • publier, diffuser ou susciter la publication ou la diffusion de tout article, périodique, bulletin, brochure, revue, volume ou autre écrit relatif à l'histoire familiale, municipale et à la généalogie. Selon le désir de ses membres, la SHGSC peut organiser des conférences, des cours, des ateliers sur divers sujets touchant la famille, l'écriture de souvenirs, l'histoire de Saint-Casimir, le patrimoine et la généalogie.

La SHGSC est récipiendaire d'un certificat d'honneur de la Commission des monuments et sites du Québec pour sa contribution à la conservation du patrimoine bâti de Saint-Casimir.

Association des Familles Marcotte

Charles Marcotte, né le 26 février 1599 et décédé le 9 octobre 1678, eu 5 enfants : Robert, François, Nicolas (né le 23 novembre 1642), Jacques (né le 7 octobre 1644) et Marie. Ils habitaient en France. Toutefois, Nicolas et Jacques décidèrent de venir s’établir en Nouvelle-France, à l’âge de 25 et de 23 ans.

Nicholas se maria à Martine Tavrey, fille du Roy, le 14 septembre 1670 à Québec. Ils eurent 6 enfants. Jacques se maria à Isabelle Salé (nommée aussi Élizabeth), fille du Roy elle aussi, le 9 septembre 1670 au Québec, dans un lieu indéterminé. Ils eurent 13 enfants. Ils vécurent au 778 rte 138 à Cap-Santé, dans ce qui est appelé aujourd’hui la maison Boivin. Jacques et Isabelle décédèrent à Cap-Santé. Quelques-uns de leurs enfants s’installèrent dans les environs de Cap-Santé, et transmirent leur maison de génération en génération, si bien que certaines des maisons sont encore aujourd’hui habitées par des descendants de Jacques Marcotte à Portneuf et à Cap-Santé.

L’Association des Familles Marcotte a été enregistré le 2 février 2007. Elle est située au 290 rue Rivard à Saint-Basile. Leur mandat consiste à rassembler le plus d’informations possibles sur les familles Marcotte d’Amérique. Ils organisent de plus des réunions, des conférences et des activités sociales. Ils ont célébré le tricentenaire de l’arriver des premiers Marcotte en 1967. Ils ont aussi fêté le 350e anniversaire des Marcotte en 2017. L’Association des Familles Marcotte a aussi un journal qui est encore aujourd’hui publié, Les Marcotteries. Leur but est de commémorer les racines Marcotte et de créer l’arbre généalogique le plus précis possible, le plus loin possible, et permettent l’échange d’histoire et de connaissance sur la famille. Sources : http://www.famillesmarcotte.com/index.html https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Marcotte_Jacques&pid=5310 http://www.quebecentreprises.com/association-des-familles-marcotte-inc-8d1l/ https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Sale_Isabelle&pid=5311

Le Club de l’âge d’or La Sérénité de Saint-Marc-des-Carrières est enregistré à la FADOQ le 19 novembre 1976. Il est situé au 1576 av. Principale, à Saint-Marc-des-Carrières. Ils organisent des bingos, des soirées de danse et des soupers communautaires.

Fondée dans les années 1980 par Christian Denis, la corporation des Amis du Moulin de Grondines a pour mission de valoriser le patrimoine bâti de la municipalité de Deschambault-Grondines, plus précisément le moulin à vent. https://www.courrierdeportneuf.com/2014/03/30/christian-denis-le-patrimoine-avant-lhomme/ Partage d’enquêtes, d’ouvrages et de documentations sur l’édifice, le but de l’association est de promouvoir ce bijou du temps de la Nouvelle-France.

Chevaliers de Colomb de Saint-Casimir

Le 26 août 1945 est formé le Conseil des Chevaliers de Colomb de Saint-Casimir. Leur mission est de bâtir la foi chrétienne par la charité et les actions communautaires. Ils fournissent aussi une assurance collective, permettant d’aider ‘’la veuve et l’orphelin’’. Il s’agit d’une société de bienfaisance, catholique (mais non rattaché à la structure juridique de l’église) et fraternelle. Les membres dont des laïcs catholiques qui s’appellent des chevaliers. Seuls les hommes sont admis, et c’est un mouvement dit ‘’semi-secret’’. L’édifice des Chevaliers de Colomb est construit en 1947 et 1948 dans le noyau villageois de Saint-Casimir au 405 rue Tessier Est. Il s’agit d’un lieu de rassemblement important pour Saint-Casimir en tant que salle de théâtre, salle de cinéma, allé de quille et salle de danse. Les membres de l’association peuvent ainsi y tenir leurs réunions et des activités organisées par les jeunes peuvent aussi prendre lieu. Le conseil est fermé et dissolu le 20 mars 2013, faute de relève. À la dissolution de leur Conseil, les Chevaliers de Colomb de Saint-Casimir ont été rapatriés par le Conseil des Chevaliers de Colomb de Portneuf.

CJSR

St-Raymond est situé dans une vallée, les ondes télévisées se transmettent mal. Par nécessité, M. Gilles Déry, vendeur et réparateur de télévisions, installa une antenne de réception en 1954 sur la Côte Joyeuse et entreprit de distribuer les «images» des diffuseurs par voie de câble. En 1958, on diffusa pour la première fois le défilé du Carnaval de St-Raymond. M. Déry continua son expansion, jusqu’à posséder les réseaux de St-Raymond, La Baie et Baie St-Paul. C’est en 1970 que la télévision communautaire de St-Raymond voit le jour, par l’implication de M. Marc-André Pelletier et de M. Marcel R. Plamondon, après l’achat de caméras et de matériel d’enregistrement par M. Déry, principal actionnaire. On choisit l’indicatif CJSR pour Côte Joyeuse Saint-Raymond. Les 12 et 14 octobre 1970 est diffusée la première émission de CJSR, qui portait sur la prévention des incendies.

Les premières diffusions étaient le dimanche après la messe, sur le canal 9, au rythme d’une fois par semaine. Durant les premières années, le studio se situe dans les locaux de Vidéo Déry, sur la rue St-Joseph. Suite à l’invitation du maire Albert-Édouard Cloutier, il déménage dans le sous-sol de l’hôtel de ville de St-Raymond. C’est là que les pionniers de CJSR, Bertrand Thibault, Denis Plamondon, Jacquelin D. Genois et Normand D. Genois s’installent et développent le poste. En 1971, le programme fédéral « Perspectives Jeunesse » permet à la chaîne d’avoir une première équipe permanente, le temps d’un été, pour coordonner le travail des bénévoles. En 1973, on offre 20 heures de diffusion par semaine. On évalue leur équipement technique à près de 12 000$. Fonctionnant sur des subventions gouvernementales, le nombre d’émissions diffusé dépendait du budget disponible. Ainsi, en 1979, la télévision communautaire connut un creux par manque de subventions, ce qui eut pour conséquence une grande baisse d’émissions, se limitant à la diffusion de la messe et des conseils de ville. En 1981, dans le cadre d’un projet de développement communautaire du Canada, le poste de télévision revient à la charge. Il diffuse toutefois maintenant sur le canal 3 et est dirigé par une toute nouvelle équipe. Le dimanche 27 mars 1983 est diffusé le super téléthon, qui connut un si gros succès qu’il permit l’acquisition du matériel pour la télévision couleur. C’est donc en 1983 que CJSR diffuse en couleur pour la première fois, toujours au canal 3. La subvention du programme d’aide aux médias communautaires (PAMEC) permit à CJSR de bien fonctionner pendant plusieurs années. En 1986, CJSR est localisé dans un ancien couvent converti en locaux communautaires.

Malgré ses succès, toujours dépendant principalement des subventions, l’arrêt du programme PAMEC fit connaître de nouveaux temps durs à CJSR. Dans les années 1990 que la télévision communautaire eut un retour marqué. En effet, la forte volonté d’une poignée de bénévoles (Gaétan Voyer, Luc Falardeau, Normand Vézina, Daniel Gagnon et Robert Rousseau) ainsi que plusieurs adolescents attirés par la technique ou l’animation permit de redonner un second souffle, ce qui donna des bases solides à CJSR. Au début des années 2000, plusieurs modifications furent apportées aux infrastructures, notamment l’Acquisition d’une roulotte de camping transformée en roulotte de reportage. En 2002, CJSR déménage leurs locaux au deuxième étage de l’édifice de leur câblodistributeur, Déry Télécom.

Le 1er mai 2016, un incendie détruit l’immeuble où se tenaient les locaux de CJSR. Temporairement relocalisé pour quatre mois dans les locaux de la Maison de la Justice, CJSR a recommencé à diffuser la semaine suivant le drame. Ils furent ensuite relocalisés temporairement dans l’édifice Julien du centre-ville, au 175-C rue Saint-Joseph. Le 8 septembre 2016, la programmation était redevenue à la normale. Enfin, ils s’établissent au 240 Côte Joyeuse, toujours à St-Raymond.

CJSR a ainsi permis aux Raymondois de s’exprimer librement sur la place publique, de leur donner une tribune et établir un dialogue direct avec la population tout au long de son histoire. Elle fait prendre conscience à sa population de l’existence de regroupements sociaux, culturels, sportifs et religieux, en plus de rendre service à ces derniers. CJSR est membre de la TCA (fédération des télévisions communautaires autonomes du Québec).

sources : https://carlfiset.wordpress.com/2019/03/24/historique-de-cjsr-tv/
livre Saint-Raymond, au cœur de la rivière Ste-Anne édition 2000

Société Saint-Jean-Baptiste

La Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) est fondée le 17 avril 1944. Le même jour est élu le premier conseil d’administration :

Andréa Saint-Pierre, président;
Joseph Perrault, vice-président;
Victor Paré, secrétaire;
Antoine Bouillé, trésorier;
Joseph Masson;
Henri Roy;
Horace Arcand;
Zéphirin Beaudry.

Le 24 février 1944, le docteur André Bouillé-Gignac publie les résultats d’une enquête sur la langue des annonces et des affiches dans les limites de la paroisse. Le document témoigne d’un degré inquiétant d’anglicisation.

Leur mission est d’animer la flamme nationaliste. Ils interviennent aux différents groupes de la société. Dans les écoles, ils décernent dans ce but des prix de fin d’année en français, en diction et en histoire. La société organise aussi des débats sur l’histoire du Canada entre les élèves du couvent et les élèves de l’école du village. Dans le même but, le 24 mai de chaque année, la société amène les élèves à méditer sur le destin tragique de Dollard des Ormeaux et des héros du Long-Sault. Le but de cet exercice est de susciter des volontaires la défense de la langue, de la foi et des droits des Canadiens français. Pour les aînés, on les encourage à célébrer le 24 juin la Saint-Jean-Baptiste en lui donnant plus d’éclat.

En 1945, la société patronne un concert de musique sacrée à l’église, incluant Claude Létourneau au violon, Paul Létourneau au violoncelle, Thérèse Coulombe de Québec et Lucille Gauthier de Deschambault, tous diplômé du Conservatoire. Les années suivantes, l’organisme organise des concerts de chants canadiens avec fanfare sur le cap du couvent.

La Société Saint-Jean-Baptiste de Deschambault organisait les festivités de la fête nationale et les parades de la Saint-Jean. La fanfare du Royal 22e Régiment venait aussi offrir un concert sur le perron de l’église.

En 1954, la SSJB organise une grande fête pour célébrer ses 10 ans. Beaucoup de paroissiens y participent. Cette fête est organisée de la façon suivante : récitation du rosaire, bénédiction des automobiles sur le terrain en face du couvent, allocution, départ des voitures en cortège avec la voiture allégorique de la Saint-Jean-Baptiste pour se rendre à la Ferme de Deschambault, jeux et amusement, souper canadien sur le terrain de la Ferme. La même année, plusieurs initiatives sont prises pour donner plus de solennité à la fête. Vers la fin des années 50, il y eut une entente entre les différentes villes pour que la parade ait lieu dans une paroisse différente chaque année.

Société québécoise d’ethnologie

La Société québécoise d’ethnologie est un organisme culturel, à but non lucratif, au service des ethnologues et des gens intéressés au patrimoine, ainsi qu’au service des organismes se préoccupant de l’ethnologie et de la mise en valeur des patrimoines matériel et immatériel à des fins culturelles, sociales et scientifiques. Fondée en 1975, la Société québécoise d’ethnologie a pour mission de promouvoir l’ethnologie et de favoriser la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine ethnologique, tant sur le plan matériel qu’immatériel.

Le projet de la radio communautaire du comté de Portneuf a commencé en 1973. La première année est consacrée à l’étude de la coopérative de télévision de l’Outaouais, puis 1974 est axé sur le développement du projet. Plusieurs comité sont créés : un comité légal, un comité technique, un comité de programmation, un comité de financement.
Le projet s’est terminé en 1975 sans sa réalisation.

Vigie Saint Laurent

Centre d'interprétation touristique de la Corporation Vigie Saint-Laurent visant à protéger et sensibiliser la population à la préservation et à la mise en valeur du Saint-Laurent

Courrier de Portneuf

La cueillette de données biographiques sur le créateur est en cours.

Les Amis de la vallée du Saint-Laurent

Contestension Portneuf Lotbinière est un organisme fondé en mai 1986 et incorporé en décembre 1986, regroupant en coalition neuf (9) comités locaux d'opposition au projet de ligne d'Hydro-Québec annoncé aux populations des comtés de Lotbinière et de Portneuf à partir de novembre 1985. Il s'agissait pour cette coalition de s'opposer au passage de la ligne Radisson – Nicolet – Des Cantons dans les régions patrimoniales de Portneuf et de Lotbinière et singulièrement par-dessus les fleuve Saint-Laurent à la hauteur des municipalités de Grondines et de Lotbinière. Cette action d'opposition conduisit à l'interdiction, par le gouvernement du Québec, en novembre 1988, du passage aérien de la ligne au-dessus du fleuve Saint-Laurent et à son remplacement par un passage souterrain sous le fleuve à la hauteur de Grondines et de Lotbinière.

En décembre 1988, Contestension Portneuf Lotbinière prit le nom de Les Amis de la vallée du Saint-Laurent. L'organisme actif jusqu'à 2009 se vouait à la protection et à la promotion des richesses environnementales du Saint-Laurent et de ses rives dans l'ensemble de son cours.

Association des Familles Paquin

Fondée en août 1976, l'Association des Familles Paquin a été constituée le 4 février 1977 et dissolue le 25 septembre 2001 au registre des entreprises du Québec.
Elle regroupait toute personne, membre ou alliée à la famille Paquin, ou qui s'intéresse à cette famille. Principalement les descendants de l'ancêtre commun, Nicolas Paquin (1684-1708)
Organisation de conférences, de partage de connaissances pour la promotion, le développement et la diffusion de l'histoire, de la généalogie ou toutes autres matières touchant la famille Paquin.
L'association recueillait tout document, fiches, photos, films pour créer des archives pour constituer le patrimoine de la famille Paquin et où puisent maintenant les historiens et les généalogistes.
Les écrits et bulletins mensuels étaient envoyé à tous les membres.
La famille Paquin possède un monument à Deschambault (dévoilé le 24 août 1975).
Le Frère Pasteur Paquin (Victor) a fait don, en 1982, de tous ses documents et objets qui a trait à la généalogie des Paquin à l'Association des Familles Paquin.

Association des femmes collaboratrices

L’Association des femmes collaboratrices (ADFC) a été fondée en 1980 et dès ce moment cette association s’est implantée dans les diverses régions administratives du Québec, dont Portneuf. Cet organisme à but non lucratif a pris la relève de l’Association féminine d’éducation et d’action sociale (AFEAS) dans la défense des droits des femmes collaboratrices du mari dans une entreprise à but lucratif. L’ADFC avait pour objectif de faire connaître la situation particulière des femmes collaboratrices et la discrimination dont elles étaient victimes. Cette association a porté diverses revendications visant l’augmentation de l’autonomie des femmes collaboratrices, tel que le droit pour ces femmes de toucher un salaire, d’avoir accès à l’assurance-chômage et à des congés de maternité. Les publications permettant d’informer les femmes collaboratrices sur des sujets qui les concernent ainsi que la rédaction de mémoires soutenant leurs revendications auprès des gouvernements ont été les moyens privilégiés par l’ADFC.

Libérez le silence

Libérez le silence est un événement poésie/musique présenté à la salle Albert-Fortier de Cap-Santé, le 10 mai 2024, à guichet fermé. Durant cette soirée musicale poétique, nous pûmes entendre les poètes Agnès Riverin, Jean Coulombe et Jaques Ouellet ainsi que les musiciens Jacques Sylvain, Charles Beaudry, Dave Bélanger, Cécile Gaudreault et Simon Carmichael.