Les premiers pas du syndicat eut lieu le 12 septembre 1920, alors que pendant deux ans, 250 travailleurs signèrent leur carte de membre. Ce premier syndicat ne put toutefois tenir le coup. La première réunion pour fonder le Syndicat national et catholique du moulin à pulpe et papier de Donnacona eut lieu en 1937, où 114 membres étaient réunis. Le promoteur du mouvement était M. Raoul Royer. Ils eurent l’aide du Conseil Central de Québec, de la Fédération du Papier et l’appui de l’Archevêché par l’entremise du cardinal Villeneuve. Il n’était cependant pas reconnu par la compagnie. C’est en mai 1944 que le syndicat fut reconnu.
Le syndicat, au cours des années suivantes, se battit pour le français au travail, l’ancienneté et le salaire basé sur le coût de la vie et non sur le coût du papier ou de la planche isolante. Dans les années 1950, la scolarité chez les jeunes devint un élément important pour le syndicat, qui voyait les jeunes quitter l’école plus rapidement pour entrer plus rapidement sur le marché du travail. Parallèlement, les nouvelles technologies dans l’industrie papetière exigeaient une plus grande formation. Le syndicat entreprit donc des pourparlers avec la compagnie pour élaborer un programme scolaire relié au travail en usine, afin de donner aux jeunes une formation suffisante et leur permettre de terminer leur scolarité.
Dans les années 1960, l’usine se scinda en deux ; une usine pour le papier journal, et une usine pour les matériaux de construction (Usine de la Planche Isolante). Cela entraîna aussi une division dans le syndicat, et l’usine de la planche isolante créa son propre syndicat, le syndicat de la Planche isolante, tandis que l’usine du papier conversa son syndicat nation des pâtes et papiers. Toutefois, malgré la présence du syndicat, les compagnies continuent de faire des passe-droits, si bien qu’en 1976, une grève éclata. Les relations internes sont alors très agressives, et ce jusqu’en 1987, où les deux parties ont entamés des approches sur l’assainissement indispensable de leurs relations. Plusieurs rencontrent diagnostiques eues lieus entre le 16 mai 1989 et le 17 octobre 1989, impliquant 74 intervenants (22 représentants syndicaux, 33 contremaîtres et 13 cadres de deuxième niveau). Un rapport écrit de chacun des groupes est analysé par la direction de l’usine. Le 9 novembre 1989, une entente entre le syndicat et les patrons est signée, en faveur d’une médiation préventive. Toutefois, en 1990, le syndicat dénonce une médiation préventive à sens unique et accuse la compagnie de manquer de bonne foi. Le syndicat commence donc à créer un comité de survie. En septembre, les négociations sont difficiles, si bien que la compagnie veut abolir des acquis chez les syndiqués en leur enlevant 2 des 4 jours fériés payés. La compagnie émet ensuite des menaces de fermeture.
À plusieurs reprises, Domtar implique le syndicat dans ses dossiers, mais le syndicat dénonce la dictature, la menace et l’arrogance de la compagnie. En 1991, la convention collective qui a été échue le 1er mai 1989 est toujours en suspend. Le 1er février, on annonce 32 pertes d’emplois, dont 22 syndiqués. Enfin, le 14 avril 1991, il y a entente sur la convention collective. Le 16 août, 53 autres postes sont coupés, dont 26 syndiqués. Le 21 août, le syndicat se donne comme objectif de «tout faire pour garder l’usine en marche avec le maximum d’effectifs». En 1993, l’employeur et le syndicat firent le point sur leurs efforts de réorganisation du travail effectués depuis deux ans. Le document Vers une entreprise de classe mondiale fut publié suite à des rencontres pour renouveler le partenariat entre les deux parties.
Dans les années 1990, les temps étaient plus difficiles pour l’industrie du papier, entraînant des changements. Plusieurs fermetures d’usines et de machines à papier, réduction du personnel dans la plupart des usines, détérioration de la situation financière des entreprises, transformation de la demande des produits des pâtes et papiers, développement de l’industrie au Brésil, Indonésie, en Corée du Sud, accélération de la modernisation de l’industrie papetière européenne, etc.. Ainsi, le syndicat des pâtes et papiers de Donnacona se rassembla avec plusieurs syndicats affiliés en 1991 pour faire le point et lancer des pistes d’action pour revitaliser l’industrie papetière. En même temps, Domtar avait décidé de se départir de ses opérations de papier journal. Une fermeture de l’usine représentait une perte d’actifs trop importante et l’usine n’était pas vendable vu les conditions difficiles de l’industrie du papier. Le directeur de l’usine, M. Desjardins, voulait donc abolir 100 autres postes. Gilles Papillon, alors chef syndical, répliqua qu’il fallait un investissement pour rendre l’usine rentable à nouveau. La CSN et la direction de l’usine travaillèrent ensemble afin d’élaborer un vrai plan d’entreprise axé sur le développement de produits à valeur ajoutée et sur la modernisation de l’usine. C’était un objectif syndical, pour permettre aux syndiqués de bien vivre à Donnacona et éviter les licenciements, en plus de permettra à l’usine d’atteindre une envergure de classe mondiale. L’usine dut tout de même fermer ses portes du 21 décembre 1991 au 6 janvier 1992, ce qui met à plus de 50 jours le nombre de journées de fermeture à Donnacona. Après de grands efforts du syndicat et de M. Gilles Papillon, on voit une amélioration, notamment en dénombrant seulement 12 jours de fermeture en 1992. Domtar songe tout de même à se départir de sa division de pâtes et papier.
En 1993, la relance de l’usine est lancée. Les travailleurs réussissent même à établir un nouveau record de production, avec 486 tonnes métriques en moyenne par jour. Le 2 mars 1993, le syndicat propose de former éventuellement une coopérative. Cette coopérative travaillerait en partenariat avec des partenaires, que ce soit Domtar ou d’autres. Toutefois, des investissements majeurs sont nécessaires pour moderniser l’usine et rendre le projet viable. 40 000$ sont alors transférés du Fonds de survie local pour mener à terme la survie de l’usine. L’objectif des travailleurs et du syndicat est maintenant de devenir une usine de classe mondiale. Le 4 février 1994 a lieu un gala organisé par Domtar, qui rend hommage aux travailleurs. Les 17 et 18 février 1994, les patrons et le syndicat signent une convention collective de 6 ans privilégiant la paix industrielle. Elle est acceptée à 75% et prévoit un système d’intéressement financier.
Le 23 mars 1994, Produits forestiers Alliance acquière la division de papier cédée par Domtar. Des investissements sont promis, mais souvent reportés. Les 13 janvier et 6 février 1995, les dirigeants patronaux et syndicaux s’interrogent sur l’orientation de l’usine, à cause d’un manque d’enthousiasme remarqué chez les travailleurs. En mars 1995, le syndicat participe à un colloque de la CSN, dans le but d’un développement d’un support au fonctionnement démocratique dans l’établissement. Le 2 août 1995, M. Pierre Monahan et M. Robert Després annoncent des investissements de 260 M$ pour les usines de Donnacona et de Dolbeau, dont 128 M$ pour Donnacona, ce qui permettra de fabriquer du papier surcalandré sur la machine à papier #3, la modification des installations existantes et la fabrication de la pâte. Cela satisfait le syndicat, d’autant plus que des emplois sont sauvegardés. L’usine obtient l’accréditation ISO 9002 en décembre 1995. En mars 1998, on forme un comité restreint ayant pour mandat de proposer à tous les travailleurs de l’usine un projet global, un plan de réorganisation du travail où tous les secteurs sont impliqués avec l’instauration de concept d’équipes performantes, stables et responsabilisées. Le 12 mars 1998, on annonce de bonnes nouvelles : un nouveau bâtiment, une machine à papier toute neuve, un super plan de pâte et un nouveau département de Finition & Expédition. Ces nouveaux investissements sont officiellement annoncés le 4 juin 1998 par la direction de Produits forestiers Alliance, et le Premier ministre M. Lucien Bouchard est présent ainsi que M. Roger Bertrand, le député de Portneuf et ministre de l’Industrie, du Commerce, de la Science et de la Technologie. Cet événement marqua un climat de confiance entre M. Monahan et M. Papillon. La venue de la nouvelle machine fera perdre entre 38 et 42 emplois, mais un programme d’indemnisation favorisant la retraite anticipée de certains travailleurs sera mis en place. Ainsi, en septembre 1998, la mission du syndicat est de faire démarrer la nouvelle machine à papier dans les délais prévus. On voit donc l’arrivée des équipes autonomes qui entraînent celle de la vie d’équipe et de représentants de comités. Chaque équipe regroupe cinq travailleurs se partageant la responsabilité des comités ; qualité, formation, coûts et performance, vie d’équipe et santé-sécurité. Les 7 et 8 février 2000 se tient un forum d’échanges sur les innovations en relations de travail au Palais de Congrès de Montréal, où plus de 200 personnes, patrons et syndiqués, participent. La caisse d’arrivée destinée à la nouvelle machine sort de ses amarres et tombe dans un fossé les 25 et 26 février 2000. La pièce de remplacement sera livrée10 juillet d’Allemagne, ce qui ne retardera pas le départ de la machine à papier #4 prévue pour le 5 septembre.
En 2001, Bowater acquiert Produits forestiers Alliance. En 2007, Abitibi-Consolidated fusionne avec Bowater pour devenir Abitibi-Bowater. Les représentants du Syndicat national des travailleurs des pâtes et papier de Donnacona proposent un plan de travail le 28 janvier pour garder l’usine en marche. Cependant, une fermeture temporaire est annoncée le 31 janvier 2007. L’usine d’Abitibi-Bowater à Donnacona ferme définitivement ses portes le 1er février 2008, sous la surprise des employés et du syndicat. Cette fermeture est jugée comme une trahison par le syndicat, qui accuse Abitibi-Bowater et le Gouvernement du Québec de s’être ligués dans le plus grand secret, afin que les activités de Donnacona soient transférées vers les usines de Dolbeau-Mistassini Shawinigan. Selon la CSN, Québec aurait autorisé l'entreprise à "se désengager de son obligation d'exploiter de façon continue" l'usine de Donnacona jusqu'en 2011. Une réunion a lieu le 15 avril 2008 entre les représentants syndicaux et les dirigeants d’Abitibi-Bowater, dans le but de relancer l’usine du côté du syndicat, sans résultat. Une coalition impliquant les représentants syndicaux et les principaux organismes socioéconomiques de la ville et de la région continueront leurs efforts pour relancer l’usine et sauver les quelque 250 emplois. Des marches de soutien aux travailleurs sont ainsi organisées, parmi les efforts déployés. C’est en 2019 que le Syndicat national des travailleurs des pâtes et papier de Donnacona est dissous. Un monument rendant hommage aux travailleurs a été érigé devant l’église Sainte-Agnès à Donnacona.
Sources :
Livre Un syndicat, une histoire, une usine d’avenir, CSN, 2000.
https://infoportneuf.com/2013/11/11/donnacona-rend-hommage-aux-travailleurs-de-sa-defunte-usine/
https://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/ressources-naturelles/abitibibowater-ferme-l-usine-de-donnacona/485381
https://www.pfresolu.com/A_propos_de_nous/Notre_histoire/
https://www.csn.qc.ca/actualites/1er-fevrier-2008-fermeture-dabitibibowater-a-donnacona-les-travailleurs-entreprennent-une-vigile/
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/200901/06/01-680858-abitibibowater-donnacona-demande-plus-de-temps.php
Livre: 50 années de solidarité
La société d'horticulture et d'écologie de Portneuf a été fondée par un citoyen avant-gardiste, monsieur Paul-André Marcotte. Son intention initiale était de contribuer au développement harmonieux de l'horticulture ornementale dans toutes les municipalités dans la grande région de Portneuf. Il voulait notamment susciter chez les citoyens le goût du beau et l'intérêt pour l'embellissement de leurs propriétés et de leurs sites municipaux par les plantes ornementales et par les arbres, tout cela dans une perspective écologique. Quelques années après la fondation de la Société, le président-fondateur a entrepris des démarches auprès des élus municipaux afin que chaque fille ou village se dote d'un emblème floral et qu'il soit mis en valeur. Ce furent là les prémices de la Route des Fleurs de Portneuf.
Fondé en 1997, Action plans d’eau plein air est un organisme sans but lucratif, mandaté par la Municipalité de Saint-Alban comme gestionnaire du Secteur des gorges de la rivière Sainte-Anne et opérateur du Parc naturel régional de Portneuf. L’organisme Action plans d’eau plein air poursuit des objectifs sociaux et culturels de mise en valeur des patrimoines culturel et naturel associés aux cours d’eau. Plus précisément, la corporation entend « favoriser le développement économique, touristique, social et culturel », « établir et organiser des activités pour impliquer les jeunes » et « défendre, promouvoir et encourager les intérêts et la mise en valeur des cours d’eau. » Ses actions sont guidées par des principes bien établis : 1. Les aménagements des plans d’eau doivent favoriser la diversité et la durabilité des écosystèmes, des milieux physiques, des populations animales, de la communauté et de ses activités sociales et économiques. 2. Il doit y être réservé un volet éducatif pour le grand public et les écoles de la région en soulignant notre histoire et notre patrimoine. 3. Ces aménagements doivent amener la concertation entre les intervenants et les utilisateurs du territoire visé et une grande visibilité, tout en incitant le citoyen à être producteur dans son milieu et fier de son appartenance. 4. Il est important de proposer des infrastructures publiques à vocation touristique qui soient conçues en fonction des besoins d’aujourd’hui et de demain. 5. L’accessibilité et l’usage pour des fins de loisirs doivent être répartis de façon efficace afin de répondre au mieux aux besoins et aspirations de l’ensemble de la population. 6. Nous devons privilégier des projets de développement durables qui ne devront en aucun cas compromettre les générations futures.
Initialement, le moulin à papier de Chute-Panet appartenait à Eugène Mouliérat. Il s’agissait d’un moulin à scie et à farine. En 1888, Thomas Logan Jackson acheta le moulin, et lui donna sa vocation de moulin à papier. En 1906, l’usine à pâte et papier est construite de l’autre côté de la rivière par la St-Raymond Paper Company afin de pouvoir exploiter le transport ferroviaire de la Quebec and lake Saint John Railway. Toutefois, à cause d’un manque d’argent, ses actifs furent liquidés. La Banque Canadienne de Commerce en est propriétaire. La production débute en 1909, grâce à l’acquisition des biens de la St-Raymond Paper Company par la News Pulp and Paper Co. Ltd. Puis l’année d’après, c’est la British Canadian Paper Mills qui devient propriétaire. La St-Raymond Paper ltd est de devenu une entreprise incorporée, avec charte fédérale, en 1935. Cette nouvelle compagnie fit l’acquisition de tout l’actif de la News Pulp and Paper Co. En 1940 et en 1950, la compagnie Saint-Raymond Papers suspend ses activités. Aucune opération forestière n’est entreprise pendant ce temps, et l’usine de pâtes et papier de Chute-Panet est au ralenti. Sous la gouverne de Malette Québec en 1990, la papetière prend un nouvel élan. Finalement, en 1995, Tembec inc. devient actionnaire majoritaire de Malette Québec. Après avoir connu des bénéfices d'exploitation à la fin des années 90 début 2000, les marchés du papier se sont effondrés et le dollar canadien a gagné de la valeur. Les pertes sont réapparues. Suite aux fermetures de plusieurs usines de pâte à papier, le 28 mai 2005, Tembec cesse les activités de son moulin à papier et ferme son usine de Saint-Raymond créant la perte de 165 emplois. Le syndicat canadien des travailleurs du papier (SCTP) unit ses forces avec le Syndicat des Travailleurs et Travailleuses en Communication et en Électricité du Canada (STCC) et le Syndicat des Travailleurs de l’Énergie et de la Chimie (STEC) en 1992 à Montréal, pour créer le Syndicat canadien des communications, de l’énergie et du papier (SCEP). Cette fusion est due à cause des différentes spécialisations de l’entreprise. Les différents syndicats se sont unis pour représenter l’ensemble des travailleurs.
Monsieur Sauvageau a pratiqué la photographie de 1948 à 1979. Pendant toutes ces années, il a couvert le territoire se situant entre Québec et Trois-Rivières. À compter de la fin des années 1960, il est photographe attitré pour Hydro-Québec pour ce même territoire. Henri Sauvageau est décédé le 1er novembre 1979 mais son épouse Gilberte Sauvageau, a poursuivi les activités du commerce jusqu’à sa fermeture en 1990. (Le photographe Henri Sauvageau est le fils de Rosaire Sauvageau et de Gabrielle Paquin. Il est né le 5 juillet 1930 à Saint-Marc-des-Carrières, comté de Portneuf. À l’âge de 18 ans, il commence à faire de la photographie à Saint-Marc-des-Carrières et dans les villages avoisinants. Son laboratoire est situé dans la résidence de ses parents à Saint-Marc-des-Carrières. Il épouse Gilberte Lefebvre, fille de Anthyme Levebvre et de Marguerite Francoeur de Deschambault, le 23 novembre 1953. Deux enfants sont issus de leur union, Carol Sauvageau né en 1954 et Dany Sauvageau née en 1956). Monsieur Paul-André Déry est photographe à la retraite. Il a pratiqué son métier de 1969 à 1990. Il succède à son père, également photographe, monsieur Georges-Édouard Déry. Monsieur Déry père pratique de 1939 à 1969. M. Déry s’inscrit à des cours sur la photographie à Saint-Hyacinthe, Trois-Rivières et Québec. En 1969, il reprend le commerce de son père.
Léonce Naud est géographe de métier. Né en 1945, fils de Thérèse Bouillé (1903-1981) et Jean Naud (1894-1972), tous deux de Deschambault.
Cueillette d’information sur Monsieur François Béliveau en cours.
La cueillette de données biographiques sur le créateur est en cours.
La cueillette de données biographiques sur le créateur est en cours.
La cueillette de données biographiques sur le créateur est en cours.
Claudette Gignac réside à Saint-Marc-des-Carrières. La cueillette de données biographiques supplémentaires sur le créateur est en cours.
Pierre de Savoye est né le 12 novembre 1942. Il possède un B.A. en sciences de l’éducation et une maîtrise en administration des affaires. Il commence sa vie professionnelle en tant que professeur et président d’une entreprise en consultation informatique.D’abord consultant dans sa carrière politique, il devient député du Bloc Québécois dans la circonscription de Portneuf en 1993, avec 53,6 pour cent des suffrages et une majorité de 13 683 voix. Il est réélu député du Bloc Québécois, toujours dans la circonscription de Portneuf, de 1997 à 2000. Durant ce mandat, il est membre du comité sur les Langues officielles, du comité sur le Patrimoine canadien, du comité sur les Ressources naturelles et opérations gouvernementales, du comité sur l’Environnement et le développement durable et du comité sur le Développement des ressources humaines et la condition des personnes handicapées. Il est maire de Portneuf de 2005 à 2009. Il a, entre autres, contribué à la mise en place de la Grande Nage Portneuf Savoura, créée par Raymond Faucher.
Marcel Fortin est né en 1946. Il obtient son doctorat de l’Université McGill en 1993. Il a fait des recherches sur le célèbre poète de Saint-Casimir et a réuni les informations de ses recherches sur le célèbre poète de Saint-Casimir et a réuni les informations de ses recherches dans cette collection. Il a réalisé ses recherches au Québec et en France. Biographe et historien, il publie en 1994 sa thèse intitulée Histoire d’une célébration : la réception critique immédiate des livres d’Alain Grandbois, 1933-1963 aux éditions L’Hexagone. En 2010, son livre biographique Alain Grandbois, formation d’un seigneur est publié par la Société d’histoire et de généalogie de Saint-Casimir
Marc Rouleau (1924-2009) est un auteur d’ouvrages historiques, historien de la petite et grande histoire de Neuville, ses ouvrages : Le terrier de Neuville, La construction navale à Québec et à Neuville au XIXe siècle : suivi du Journal de Jos Angers dit Stéguy, Neuville, 1667-2000 : 333 années d'histoire, Un brin d'histoire : chroniques neuvilloises, Utilisation du sol : Thetford Mines, etc. Il est aussi un des fondateurs de la Société d’histoire de Neuville en 1995.
Henri-Paul Thibault était consultant en histoire et ingénierie pour le Ministère de la culture et de la communication sur le patrimoine des ponts du Québec. Il a aussi travaillé à la paroisse de Ste-Famille de l’ïle d’Orléans. Il a écrit plusieurs documents concernant l’importance du patrimoine d’ingénierie.
Monsieur Richard Savard et madame Lucille Pascal tiennent un magasin d’antiquité à Grondines.
La cueillette de données biographiques sur le créateur est en cours.
La cueillette de données biographiques sur le créateur est en cours.
La cueillette de données biographiques sur le créateur est en cours.
Monsieur Bilodeau et sa conjointe amassent des documents sur Portneuf depuis 1977. Raynald Bilodeau est restaurateur de meubles à Parcs Canada.